- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

Validité d’une déclaration d’appel délivrée au nom d’une partie prédécédée
Validité d’une déclaration d’appel délivrée au nom d’une partie prédécédée
L’irrégularité d’une déclaration d’appel tirée de l’absence de capacité de l’une des parties n’affecte pas la validité de l’acte à l’égard d’une autre partie au nom de laquelle l’acte est également délivré.
par Mehdi Kebirle 11 janvier 2016
La Cour de cassation revient, à l’occasion de cet arrêt, sur la question de la validité d’un acte introductif délivré au nom de deux personnes dont l’une était décédée au moment de l’introduction de l’instance.
Il s’agissait en l’espèce de deux jugements étrangers ayant prononcé, d’une part, l’adoption plénière d’un l’enfant par un homme et son épouse d’autre part, celle d’un autre enfant par l’époux seul. Quelques années plus tard, un jugement avait rejeté la demande d’exequatur de ces décisions. À la suite du décès de l’époux, un appel a été interjeté en son nom et en celui de son épouse.
Une cour d’appel avait retenu l’irrecevabilité de la déclaration d’appel au motif que l’épouse n’avait pas précisé qu’elle interjetait appel en son nom et en sa qualité d’héritière ou de conjointe survivante. L’acte ne pouvant être scindé en deux, il devait être déclaré irrecevable.
Censurant la décision au visa de l’article 117 du code de procédure civile, la Cour de cassation précise que l’irrégularité de la déclaration d’appel tirée du fait qu’elle avait était établie au nom de l’époux décédé n’affectait pas cet acte en ce qu’il était établi au nom de son épouse.
Le tort de la cour d’appel a été ici...
Sur le même thème
-
Pas d’atteinte systématique aux droits du patient en cas d’irrégularité du placement en UMD
-
Notion de résidence habituelle au sens du règlement Rome III
-
Fugue du patient et soins psychiatriques sans consentement
-
Aide sociale à l’enfance : absence d’effet d’une cassation
-
Nouvelle abrogation partielle de l’isolement et de la contention en soins psychiatriques sans consentement
-
Précisions par décret de la procédure applicable à l’ordonnance provisoire de protection immédiate
-
L’office du juge des enfants au regard des modalités du droit de visite d’un parent à l’égard d’un enfant placé : rappel des règles dérogatoires en matière d’assistance éducative
-
AMP : confirmation par le Conseil d’État de la date du 31 mars 2025 fixée par le décret n° 2023-785 du 16 août 2023
-
La procréation post mortem par transfert in utero d’embryons humains : le Conseil d’État dit toujours non
-
Changement de prénom : précisions sur l’intérêt légitime