- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- Avocat
Article

Une sommation de payer ne vaut pas mise en demeure d’exécuter une obligation en nature
Une sommation de payer ne vaut pas mise en demeure d’exécuter une obligation en nature
Une sommation de payer ne peut valoir mise en demeure d’avoir à exécuter une obligation alimentaire, dès lors que cette dernière a été stipulée en nature, et non par équivalent.
par Delphine Peletle 7 avril 2017
En 1989, un propriétaire cède la nue-propriété de plusieurs biens immobiliers à un acquéreur qui s’engage, entre autres, à assumer à son égard une obligation de nature alimentaire consistant à le loger, le nourrir, le vêtir, le soigner et plus généralement à l’entretenir, si ce dernier en manifeste le besoin. L’exécution de cette obligation alimentaire est sanctionnée par la stipulation au contrat d’une clause résolutoire dont la mise en œuvre est subordonnée à la mise en demeure préalable du débiteur.
En 2011, alors que l’acquéreur n’a pas fourni l’aide matérielle réclamée par le vendeur, ce dernier lui fait délivrer une sommation de payer visant la clause résolutoire à défaut de règlement. L’acquéreur assigne le vendeur en...
Sur le même thème
-
Perte financière et placement du point de départ de la prescription quinquennale
-
Liberté éditoriale des enseignants-chercheurs : le refus d’intégrer une contribution n’est pas abusif
-
Certification du kilométrage et responsabilité contractuelle
-
Des conséquences de la force majeure
-
Vente immobilière et clause de non-garantie : la servitude non apparente n’est (toujours pas) un vice caché
-
La transaction : une paix illusoire ? Quand le juge s’invite dans l’équilibre des concessions
-
De la caractérisation d’un ensemble contractuel interdépendant
-
Résolution par voie de notification et caducité d’un contrat de location financière
-
Action paulienne et condition d’appauvrissement
-
Des règles du mandat confrontées à la vente d’espaces publicitaires