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Article
La technologie Blockchain : une révolution aux nombreux problèmes juridiques
La technologie Blockchain : une révolution aux nombreux problèmes juridiques
Annoncée comme une révolution à venir, la « chaîne de blocs » va bouleverser plusieurs pans du droit, non encore armé pour y faire face.
par Olivier Hiellele 31 mai 2016
Tapez « Blockchain » dans votre moteur de recherche, et les mots-clés qui sont liés sont sans appel sur l’impact de la technologie dans un futur proche : « révolution », « bouleversement », « technologie de rupture », etc., de nombreux médias spécialisés dans le numérique, français et étrangers, y vont tous de leurs superlatifs. Mais avant d’entrer dans les détails, il convient d’abord de définir ce qu’est la technologie Blockchain. Il y a encore quelques mois, les articles qui en parlaient ne provenaient que de médias anglo-saxons ultra-spécialisés. En août 2015, la société Blockchain France voit le jour. Son objectif : démocratiser la technologie en France. Claire Balva, cofondatrice de cette entreprise, la définit comme « une méthode de stockage et de transmission d’informations transparente, sécurisée, sans organe central de contrôle ».
En clair, au lieu d’avoir un organe central qui possède à lui seul des documents qu’il distribue en copie aux clients, chaque ordinateur possède lui-même les fichiers d’un groupe. À gauche, le schéma d’un serveur centralisé, ce qui est le cas pour la majeure partie du web ou pour le cloud. À droite, le fonctionnement schématisé de la technologie Blockchain. Chaque ordinateur devient lui-même organe de contrôle. Le modèle distribué présente un avantage majeur par rapport au modèle centralisé : il est très difficile à pirater. « Il faudrait qu’un hacker puisse avoir accès à plus de la moitié des ordinateurs de la chaîne et modifier simultanément leurs données, précise Claire Balva. Autre avantage, il résout d’office les problèmes politiques de responsabilité d’un individu au sein d’une entreprise, puisque chaque action doit être approuvée par plus de la moitié des membres ». Un avantage qui pose néanmoins un problème de responsabilité...
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