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Procès du Carlton : la « chèvre » malentendante à la barre
Procès du Carlton : la « chèvre » malentendante à la barre
Hier, devant le tribunal correctionnel de Lille, René Kojfer, l’un des personnages clé de l’affaire, avait à s’expliquer des rencontres avec des prostituées qu’il organisait dans un appartement voisin du Carlton.
par Marine Babonneaule 4 février 2015

René Kojfer a 74 ans. De dos, il a des allures de Jacques Séguéla, la mine un peu moins dorée. Il est vrai que sa carrière n’est pas tout à fait comparable à celle du publicitaire. « René » touche aujourd’hui une maigre retraite textile, il a un temps vendu des trousseaux de mariage, des meubles, des matelas. Il a également boulonné quelques mois au sein du service publicitaire du théâtre Sébastopol. « J’aimerais bien encore travailler mais ce n’est pas facile à mon âge (…) je n’arrive pas à me concentrer ». Flamboyant, il l’a pourtant été davantage. L’homme a été chargé des relations publiques de l’hôtel du Carlton, ce qui lui convenait bien car il avait un sacré carnet d’adresses regorgeant de contacts francs-maçons et policiers. D’ailleurs, sa proximité avec certains policiers, lui vaut d’être une « chèvre » - et non un indic, il n’aime pas ce mot – dans une ou deux affaires de mœurs. Quand le président du tribunal lui demande s’il...
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