- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Toute la matière
- > Arbitrage - Médiation - Conciliation
- > Bien - Propriété
- > Contrat et obligations
- > Droit et liberté fondamentaux
- > Droit international et communautaire
- > Famille - Personne
- > Filiation
- > Mariage - Divorce - Couple
- > Procédure civile
- > Responsabilité
- > Succession - Libéralité
- > Sûretés
- > Voie d'exécution
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Travailleurs handicapés
- Avocat
Article

L’enregistrement des procès d’assises « risque de lisser les témoignages »
L’enregistrement des procès d’assises « risque de lisser les témoignages »
Selon certains magistrats, l’enregistrement sonore pourrait avoir des conséquences sur le déroulement des procès d’assises.
par Caroline Fleuriotle 2 octobre 2014

L’obligation d’enregistrement sonore des procès d’assises est entrée en vigueur le 1er octobre 2014. Sur le papier. « Les salles ne sont pas équipées, […] des fonds n’ont pas été débloqués », observe Céline Parisot, secrétaire nationale de l’Union syndicale des magistrats (USM). L’heure est à l’expérimentation d’un système d’enregistrement (V. encadré).
Mais à quoi serviront ces enregistrements, quand ceux-ci seront une réalité ? Une circulaire de la Chancellerie précise qu’ils auront « vocation à être utilisé[s] le cas échéant dans une éventuelle procédure de révision, afin de déterminer […] si un élément présenté comme nouveau à l’appui de la demande de révision a ou non été débattu par la cour d’assises et porté à la connaissance des jurés ». Céline Parisot, qui avait été auditionnée dans le cadre de la mission d’information sur la révision des condamnations pénales, estime qu’un tel enregistrement pourra s’avérer utile. « Les procès-verbaux des audiences d’assises sont très rudimentaires, ils ne comportent pas le contenu des échanges », rappelle-t-elle. Le rapport annuel 2012 de la Cour de cassation mentionnait la difficile appréciation de la nouveauté des faits par...
Sur le même thème
-
Exposition à des substances toxiques : la Cour européenne rappelle les exigences garanties par le droit à la vie
-
Diffusion d’une circulaire relative à la prise en charge des personnes de nationalité étrangère définitivement condamnées
-
Compétence du pouvoir exécutif en cas de conflit entre MAE et extradition
-
L’information obligatoire des autorités compétentes de l’État de condamnation avant de refuser l’exécution d’une peine
-
Légitimité du recours à la force meurtrière par le GIGN
-
Mort de Rémi Fraisse : carton rouge pour le France
-
Contrôle de l’exercice de la liberté d’expression : deux nouvelles illustrations en matière de discrimination et de recel et dégradations
-
Refus d’obtempérer et recours à la force meurtrière
-
Liberté d’expression : mise en œuvre du contrôle de proportionnalité pour les délits d’entrave à la circulation et de dénonciation calomnieuse
-
Contrôle judiciaire et principe de spécialité dans le cadre du transfert d’un individu condamné au sein de l’UE