- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Européen
- Immobilier
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- Avocat
Article

Faut-il réduire la collégialité pour le jugement des crimes terroristes ?
Faut-il réduire la collégialité pour le jugement des crimes terroristes ?
Face à l’augmentation du contentieux terroriste, des sénateurs proposent de réduire le nombre d’assesseurs composant la juridiction chargée de juger les crimes terroristes. Pour certains acteurs, une telle réforme nuirait à la qualité des décisions rendues.
par Caroline Fleuriotle 6 janvier 2017

Le nombre d’assesseurs composant la juridiction chargée de juger les crimes terroristes doit-il être revu à la baisse ? C’est en tous cas l’objet d’une proposition de loi (LR, UDI-UC) qui va être débattue en séance publique au Sénat le 10 janvier 2017.
Le jugement des crimes terroristes se fait par une cour d’assises spécialement composée, réunissant uniquement des magistrats professionnels (C. pr. pén., art. 698-6 et art. 706-25). Quand elle statue en premier ressort, cette juridiction est composée d’un président et six assesseurs (un président et huit assesseurs en appel). Avec cette réforme, approuvée par la commission des lois du Sénat, les assesseurs ne seraient plus que quatre en premier ressort (six en appel).
Pour les auteurs de la proposition de loi, « cette organisation judiciaire […] est aujourd’hui mise à l’épreuve par l’accroissement sans précédent du nombre de procédures ouvertes pour infraction...
Sur le même thème
-
Rappels utiles en matière de confiscation
-
Circulaire de politique pénale générale : narcotrafic et violences contre les personnes
-
Synthèse annuelle du PNF pour 2024, politiques pénales en cours et possibles réformes législatives en 2025 : quand l’anticorruption revient sur le devant de la scène
-
Précision sur l’adéquation des dispositions légales relatives aux captations de données informatiques
-
Motivation et durée des mesures d’interception et de géolocalisation des lignes téléphoniques
-
FIJAIT et fraude aux prestations sociales : précisions de droit pénal spécial
-
Bref état des lieux du volet justice du plan de lutte contre la criminalité organisée
-
Acquisition de la prescription pour absence de connexité : clap de fin pour le volet sécuritaire de l’affaire Karachi
-
Recours contre une ordonnance de dessaisissement d’un juge d’instruction au profit de la JUNALCO
-
Le placement en quartier de prise en charge de la radicalisation face au référé-suspension