- Administratif
- Toute la matière
- > Acte
- > Collectivité territoriale
- > Compétence
- > Contrat et marché
- > Droit économique
- > Droit fondamental et liberté publique
- > Election
- > Environnement
- > Finance et fiscalité
- > Fonction publique
- > Institution administrative
- > Police
- > Pouvoir public
- > Procédure contentieuse
- > Responsabilité
- > Service public
- > Urbanisme
- Affaires
- Civil
- Européen
- Immobilier
- Toute la matière
- > Bail
- > Construction
- > Copropriété et ensembles immobiliers
- > Crédit immobilier
- > Droit rural
- > Environnement
- > Expertise
- > Expropriation
- > Fiscalité immobilière
- > Marchés de travaux
- > Procédure civile et voies d'exécution
- > Professions
- > Propriété
- > Sûreté et publicité foncière
- > Urbanisme
- > Vente
- IP/IT et Communication
- Pénal
- Toute la matière
- > Atteinte à l'autorité de l'état
- > Atteinte à la personne
- > Atteinte aux biens
- > Circulation et transport
- > Criminalité organisée et terrorisme
- > Droit pénal des affaires
- > Droit pénal général
- > Droit pénal international
- > Droit social
- > Enquête
- > Environnement et urbanisme
- > Etranger
- > Informatique
- > Instruction
- > Jugement
- > Mineur
- > Peine et exécution des peines
- > Presse et communication
- > Santé publique
- Social
- Toute la matière
- > Accident, maladie et maternité
- > Contrat de travail
- > Contrôle et contentieux
- > Droit de la sécurité sociale
- > Grève
- > Hygiène - Sécurité - Conditions de travail
- > IRP et syndicat professionnel
- > Négociation collective
- > Protection sociale
- > Rémunération
- > Rupture du contrat de travail
- > Santé publique
- > Statuts particuliers
- Avocat
Article

Contrôle au faciès : « Nous ne vivons pas dans un régime d’apartheid »
Contrôle au faciès : « Nous ne vivons pas dans un régime d’apartheid »
Hier, devant la cour d’appel de Paris, treize personnes estimant avoir fait l’objet de contrôles de police en raison de leur seule apparence ont demandé la condamnation de l’État pour faute lourde et 10 000 € de dommages et intérêts chacun. Ils avaient été déboutés en première instance.
par Anne Portmannle 26 février 2015

L’audience s’est tenue dans la grande salle de la première chambre de la cour d’appel de Paris, la seule qui permettait d’accueillir le public, nombreux, venu assister à l’audience. Les plaignants étaient, en effet, soutenus par le collectif « Stop le contrôle au faciès ». En première instance, les treize demandeurs avaient été déboutés de leurs demandes, faute pour eux d’avoir apporté la preuve de la défaillance de l’État dans l’organisation des contrôles de police. Et c’est aussi autour de ces questions de preuve que se sont cristallisés les débats en appel. Tout comme en première instance. Mais les appelants avaient cette fois un allié de poids.
Question de preuve
Le Défenseur des droits est, en effet, intervenu en soutien des treize appelants. Représenté à l’audience par l’avocat...
Sur le même thème
-
Conditions indignes de détention de la maison d’arrêt de Limoges : précisions sur le référé-liberté par le Conseil d’État
-
La communication téléphonique en détention vue par le CGLPL
-
Le Conseil d’État n’en démord pas avec la PMA après la mort : pas de QPC !
-
Nature des documents de la Commission nationale de contrôle de la campagne pour l’élection présidentielle
-
Refus d’obtempérer et recours à la force meurtrière
-
Contrôle juridictionnel des opérations administratives réalisées par l’administration fiscale : réaffirmation du caractère restrictif de l’office du juge pénal
-
Référé pénal environnemental : clarifications sur le contentieux des difficultés d’exécution des mesures conservatoires
-
Constitutionnalité du délit de participation à une entreprise de démoralisation de l’armée
-
Conditions indignes de détention et principe d’interdiction de reformatio in pejus
-
Effectivité du recours contre les techniques de renseignement